Par dessus bord

1998. - l’Autre Distribution -  graphisme : Fred Sochard

1- L'éclusière en fleurs

(Annic Pezé / Denis Le Vraux)

2- Par-dessus bord

(Dominique Boulmer / Bernard Garet)

3- Pont Transbordeur

(Philippe Cabaud)

4- Loire inférieure

(Jean Pauly / Denis Le Vraux)

5- L'embarquement

(Bernard Garet/ Denis Le Vraux)

6- Quand on vogue sur le vin

(Traditionnel)

7- Nous étions 3 capitaines

(Traditionnel)

8- Fanfare du matin

(Bernard Garet)

9- Eugénie les larmes aux yeux

(Traditionnel)

10- Les 12 lavandières

(Traditionnel)

11- La buée

(Traditionnel)

12- Eau de vie, eau de misère

(Dominique Boulmer / Denis Le Vraux)

13- Polka de la Mayenne

(Traditionnel)

14- La chanson de la pêche

(Paul Besnard 1899/ Denis Le Vraux)

15- Vent de Galère

(Bernard Garet)

16- Les filles des Villaines

(Traditionnel / Denis Le Vraux)

17- Vert Eau

(Bernard Garet )

18- Les p'tites fesses de la java

(Jean Pauly / Denis Le Vraux)

19- Les miroirs de l'aube

(Dominique Boulmer / Bernard Garet)

20- Valse anodine

(Bernard Garet)

 

20 morceaux parmi lesquels : 

Des chansons traditionnelles : "Les filles de Villaines" dont les paroles recèlent un double sens coquin, "Eugénie les larmes aux yeux" qui a valu au groupe d'être récompensé au Concours de chants de marins de St-Gilles-Croix-de-Vie.

Des extraits du spectacle "Un balcon sur l'eau brune" :

"Par-dessus bord", "Eau de vie, eau de misère", "les miroirs de l'aube". Cette évocation des bateaux-lavoirs et des laveuses, commandé par le Musée de Laval sur un livret du parolier attitré du groupe Dominique Boulmer, a laissé aux spectateurs un souvenir ému qu'il nous a paru bon de prolonger sur disque.

Des pièces instrumentales : Des portraits clin-d'oeil de Bernard Garet ("valse anodine", "vert eau") ou de Philippe Cabaud ("Pont Transbordeur" qui évoque le Nantes du début du siècle).

Des chansons d'auteurs contemporains : Annic Pezé pour "l'éclusière en fleur", carnet de voyage sur le canal de Nantes à Brest, Jean Pauly ("Loire inférieure", "Les p'tites fesses de la java"), ou Paul Besnard pour une truculente "chanson de la pêche".